Wolfram "Lily" Meril [Validé]

Nom : Meril

Prénom : «Lily » Wolfram

Âge : 17 ans

Origine : Anglaise, mais il vécu la plu part du tant dans son manoir à Bergen

Statut/rang social : Noble, Comte de Bergen - Norvège

Physique : Il y a sans doute une seule chose qui saute au yeux quand on le regarde : ce sont ses yeux… Mais j’en parlerai plu tard… Wolfram est très maigre, mais ce n’est pas maladif. Il ne mange pas beaucoup et fait très attention à sa ligne, c’est tout. (Une salade par repas et peut être un verre de vin…) Autant dire qu’il à la peau sur les os. Ces cheveux son d’un châtain très clair qu’on pourrait croire qu’on les ai éclairci, mais c’est ca couleur naturelle. Ca coupe est en dégradé. Des cheveux courts qui lui vont par dessus les yeux et jusqu’au niveau du cou (à voir même jusqu’aux épaules), les reste est long et il les attaches toujours en queue de cheval (enfin pas lui, son majordome surtout XD) Une bonne partit lui retombe dans le visage, mais cela ne le gêne absolument pas, au contraire ca le rend plus « mystérieux » qu’il ne l’ai déjà.
Enfin, passons au visage. Et surtout à ces yeux. Ils sont des plus étranges et couleurs d’or. Ca tante Julia disait toujours « Tu as utilisé la magie de tes yeux pour les cacher… toi aussi tu veux me tuer… » La couleur vient du fait qu’il est le produit d’un inceste entre son père et sa sœur. Des vrais yeux de chats, de démons. Aucune autre couleurs y est visibles. Mais ils sont grands et souvent ‘angélique’ qui correspond aux travers fins et réguliers de son doux visage. Le teint de sa peau est mat et douce comme tout son corps d’ailleurs.
Il porte des boucles d’oreilles à chaque côtés, ce sont des petits sphères d’argent qu’il avait reçu à quelconque occasion et parce qu’il se trouvait trop monotone, il avait décidé de les mettre. Il porte une grosse bague avec les initiales L.L.M. Lord Lily Meril à l’auriculaire. Au cou, il porte un long médaillon qu’il à prit à son majordome avant de partir voir le comte Aodhan.
Le reste de son corps est normal et propre : aucun tatouage. En revanche, son dos est couverts de cicatrices du à des coups de fouets, mais seul son majordome est au courant de cela…
Wolfram porte une tenue de noble guerrier, de couleurs bleu marine et beige, ornée de grande couture norvégienne. Une tenue que porte souvent les nobles de Norvège.

Psychologie : Bien souvent, Wolfram souffre, mais il souffre en silence, se rappelant des souffrances vécue dans son passé. Par contre, Wolfram aime la musique, toute la musique, dépendant naturellement de son humeur. La musique permet qu’il de s’échapper de la réalité. Mais aussi, il aime la nature, un paradis. Wolfram n’est pas bavard dans le sens d’un moulin à parole. Quand il parle il dit ce qu’il pense et est franc, trop franc même. Wolfram prend tout avec le calme, il est seulement très susceptible quand on dit du mal sur sa famille ( sa sœur et son majordome uniquement) Et si il est extrêmement énervé, il peut devenir violent…
Wolfram n’a pas de remord en ce qui concerne qu’il est manipulateur. Suivant son humeur et les causes d’un situation. Et quand il à quelque chose en tête, il passera par tout les crimes inimaginables pour arriver à son but. En plus de tout ca… il est têtu et impossible de le faire changer d’avis. C’est même perdu d’avance… Wolfram est une personne qui aime bien briser les règles et se fou totalement des personne qui le considère comme inférieur à elles, parce que c’est une personne dite « maudite ». Ces gens la, il les ignores et devient froid envers elles, quitte à même être méchant ou l’utiliser en tant que cobaye pour ses poisons, sans qu’elle ne le remarque(ca c’est une partie de son histoire qui sera dévoilé plu tard)
Dès le départ, mieux vaut se faire Wolfram comme ami, car il n’accorde pas la confiance à tout le monde. Pour lui, la confiance se mérite, mais il ne l’accorde qu’a sa sœur et son majordome. Une personne qui ne mérite pas son attention, c’est perdu d’avance d’essayer de lui parler… il sera désagréable envers elle. Ce n’est pas pour autant qu’il semble gentil avec une personne qu’il l’a considère comme son égal.
Wolfram est tout aussi un hypocrite qui cache très bien ses sentiments et qui est un très bon comédiens. Personne, excepté Yuuri peut être, ne peut deviner ce qu’il sens ou ce qu’il pense réellement…
A ajouter aussi, Wolfram n’est pas du tout partageur, un vrai égoïste, mais pas dans le sens, partager un objets, mais quand il s’agit d’une vrai personne.
Paresseux ? Non, cependant, si Wolfram ne fait pas une chose c’est qu’il n’aime pas faire les choses gratuitement. Il demandera toujours quelque chose en retour, être payé en nature de préférence.
Bon le bon côté maintenant. Enfin, ceci est plutôt la seule qualités qu’il à : il tient toujours les promesses qu’il fait, est donc très honnête (même trop comme déjà dit précédemment)
Néanmoins, Wolfram peut être très gentil envers les personnes qui mérite son respect et sa confiance (en outre, encore sa sœur et son majordome… )
Mais on reste toujours attaché sur son air mignon et attachant… mais les apparences sont trompeuses…

Signe particulier/Talent : Ses yeux couleur or… Tout comme il hérite le titre de Comte/Lord « Lily » Meril, il a hérité des trésors de la familles, en outre une canne : cette canne est en faite un fourreau dans lequel repose une épée. Il est fort en maniement de l’épée.
Il collection les poisons lui donne un titre de ‘Comte poison’ Il aime trouver des cobayes^^
Mais aussi, dans son entourage, du à son passé, beaucoup de meurtre son commis. On pourrait dire qu’il est schizophrène, car il élucide toujours ses mystères, comme une… détective..

Citation :: La biographie de mon personnage est en réalité un fanfic modifiée sur la série compte Caïn, je vous prie de ne pas prendre ce texte pour des satisfactions personnelles

Biographie : J’étais assis dans le jardin, dans l’ombre d’un tilleul. Quel âge avais-je ? 4 ans je pense… Je ne suis pas sur…Mais je me rappelle, devant moi, était étalé un livre de médecine, une page jaunâtre, des écritures plus vielles et presque effacées, des schémas représentant des fleurs, formules et autres recettes… Des recettes de quoi… De poisons… Comment oublier, c’est ma plus grande passion. Enfin retournons à cet après midi. Je lisait paisiblement ce livre, au même endroit que d’habitude, tout les après midi vers trois heures. J’apprêtais à tourner la page de mon livre, que j’entendis un vois connue, trop connue pour ne pas l’oublier.

« Ha te voilà Wolfram… Cela fait un moment que je te cherche »

Je releva ma tête et vit la femme debout devant moi. Elle avait une mine étrange, tout comme son comportement. Jamais je ne l’ai connue ainsi. Elle cachait quelque chose dans dos, mais je ne pu deviner quoi, que toujours surprit je me demandais ce qu’elle voulait.

« Qu’avez vous mère ? lui demandais-je, Vous agissez de façon étrange ! »

Je vis que son visage s’assombris, ses yeux se plissaient, la sueur perlait sur son visage et se vit alors ce qu’elle cachait derrière son dos. La lame de la hache reluisait les faibles rayons du soleil qui perçaient les arbres, sortait de derrière son dos et avant que je ne puisse dire quoi que se soit, elle s’était jetée vers moi en hurlant, voulant me tuer…

« SI SEULEMENT TU N’ETAIS PAS NE !! »

Mes mains se crispaient et le sentit le papier de mon livre se froisser sous mes doigts. J’étais paralysé par la peur, je ne pouvais bouger, ne voyant que ma mère se jetant sur moi, une hache à la main. Mes yeux fixaient le vide, j’attendais le coup fatal.
Mais je ne sais pas ce qui c’est passé par la suite. La seul chose dont je me souvient c’est que mère cracha du sang, puis son corps crispé et puis paralysé heurta le sol. La lame se planta dans mon livre, juste entre mes mains.

« Mère… »

Je ne vit que son corps immobile et ensanglanté sur le sol. Je ne pouvait toujours pas bouger, je ne comprenait toujours pas ce qu’il s’était passé, il y à peine deux secondes. Je pouvais enfin me redresser et je m’approchai du corps de mère. Je sentis les larmes se stagner dans mes yeux, mais elles ne voulaient couler. Je ne savais pas ce que je devais faire…

« Mè… Mère ?! »

Je voulais toucher le cadavre, quand j’entendis des bruits venant des buissons, suivit d’un cri. Un cri prononce mon nom.

« Wolfram !! »

« Père !! »

Mon père accoura de la forêt pour me rejoindre. Je ne savais pas comment cela se faisait qu’il était la, lui qui était partit pour un voyage à l’étranger, il se retrouvait là. Mais je me fichais de toutes ses incohérences. Il courrait vers moi et moi qui avais enfin retrouvé mes moyens, me jetai dans ses bras. Il me prit dans ses bras…
« Wolfram… Ne regarde pas !! »

« Ouiiiiiiiiiiin »

« Ta mère… s’est empoisonnée elle-même !! »

Il me serra fort dans ses bras, sa douce voix me murmurait des mots à l’oreille. Je n’y faisais pas attention. J’essayais de faire couler les larmes de mes yeux, mais rien. Je ne savait pas pourquoi, mais je ne su pleurer à ce moment la… Je ne voulais que tout oublier… mais c’était impossible…

« Ca va aller… oublie tout ça Wolfram… »

Père, qu’est ce que je me sentait rassuré dans vos bras, mais la vision de mère… je ne pouvait l’oublier…

« C’est… un cauchemar… Il faut que tu oublies Wolfram ! Et… »

Mes larmes ne coulaient toujours pas… pourtant un enfant comme moi en avais le droit ? Le droit de pleurer à la perte d’un être cher ? Pourquoi n’y arrivai-je pas ?

« Et… »

« Ouh… booouh… »

~ Sept ans plus tard ~

Toute ma journée je l’ai passée dans ma chambre, mais je sais de toute façon ce que père avait prévu pour moi… et pour lui aussi. Je savais que depuis un long moment il recherchait un servant digne de la famille, qui ne pouvait être réservé qu’a moi, mais je ne savais pas, qu’il avait trouvé cette personne. Enfin, je suppose que père était entrain de montrer le château à notre invité. J’entendis les voix, elles étaient assez proches.

« Quelle femme splendide Comte Meril ! S’agit-il de votre épouse ? »

Il avait une voix douce, je sentis me plaisait déjà. Par la suite, j’entendis père Stoffel lui répondre de son ton calme habituel. Non, un moment. Je ne sais pas pourquoi, mais je sentit un point d’agacement dans sa voix. Pourquoi avez vous réagis ainsi père ?

« … Non, c’est ma sœur aînée…Julia … Ma femme est morte il y a sept ans de cela… »

C’est étrange, père… pourquoi réagis-tu mal quand tu parle de mère ? J’entendis l’autre jeune homme répondre…

« Oh, je comprends… pardonnez moi… »

Je n’entendis plus les pas, ils s’étaient arrêtés devant la porte de mon antre et je continuais d’écouter à la porte, je voulais savoir à quoi m’attendre. Ils parlaient toujours et cette fois ci, c’était de moi…

« Aaah Yuuri… Comme je suis content que tu sois venu ! C’était une des dernières volontés de ton père que je t’accueille ici… »

« Oui… Je vous remercie de me prendre à votre service… »

Toujours cette voix sombre de votre part, père… qu’est ce qu’il ne va pas…

« Il y a quelque chose que je dois te dire… à propos de mon fils Wolfram… Il va bientôt avoir douze ans… et il est un peu étrange… »

« Euh… Ah ? »

Le pauvre que répondre à père. Mais père, je vous le demande, pourquoi dite vous cela, qu’ai-je de mauvais ? Je vous écoute toujours, mais je ne peux croire ce que vous dites…

« Je ne tiens pas à ce que d’autres personnes le voient… Alors si tu le rencontres, ne lui adresse pas la parole… »

Non, père, je ne peux pas croire que vous étiez sérieux…Je me rappelle qu’après ca, je me suis levé et me suis enfuis dans le jardin… La seul chose à ce que je pensait c’était à quoi ressemble le jeune homme. Comme le destin peut se révéler ironique… un jeune homme de son âge en être réduit à devenir le valet de notre famille de haute lignée… Pourtant, la peur de le rencontrer c’est dirigée envers père. En quelques secondes, j’avais plutôt envie de craindre père Stoffel que le jeune Yuuri jamais rencontré…

Je pense que c’était le soir, ou plutôt la nuit. Je ne vis pas avec une montre, je sens le temps. Il faisait sombre et froid, sans doute la nuit alors. Mais vous vous demandez ce que je fais tardif dans le jardin, et bien, la simple raison, mon petit oiseau est mort… et je l’enterre. Mes mains creuse le sol pour y faire un trou et déposer le corps sans vie de mon ami… Je remis la terre sur le corps quand j’entendis des bruits de pas dans les feuilles mortes. Je me dépêchait de l’enterrer, et j’essuyais mes larmes de mon visage, quand je vis la silhouette d’une personne inconnue. J’avais eut peur que c’étais père, mais la personne ressemblait plutôt à un jeune étudiant. Il me regarda surpris et effrayé, demandant timidement :

« Euh.. Que faites vous ici au beau milieu de la nuit ?! »

Lui fais-je tant peur que ca ? Il me regarde, il me fixe… mes yeux… Je le regarde encore, mais je me détourne pas la suite en soupirant.

« … Mon petit oiseau est mort… Je lui creuse une tombe… »

Sans le regarder, je sens qu’il me fixe toujours. Il me paraît étrange, mais je n’ai pas peur de lui. Je me rappelle que père me disait de ne pas faire confiance au inconnue, mais bon, cette personne était différente. Elle avait des cheveux couleurs clairs, plutôt… blanc… aux reflets argentés… Il est beau… Par contre, à me fixer comme ça, il me mit mal à l’aise. Sarcastique je lui dis.
« Que regardes-tu ? Mes yeux te paraissent étranges ?! »

Imbéciles je suis, bien sur que mes yeux sont étranges, qui à déjà des yeux or comme les miens, personnes… je suis un monstre… Mais j’étais plutôt occupée de regarder le jeune homme devant moi. C’était une grande perche mais qu’est ce qu’il était beau… Mon regard se détourna sur le livre qu’il portait.

« Quel est ce livre ? »

Il hésita à répondre et calmement j’attendis.

« Euh… C’est un livre de médecine. Je suis étudiant en médecine… Mais j’ai dû quitter l’école quand ma famille à fait faillite… »

Il marqua une pause et il lui paraissait difficile de continuer. Le pauvre, je sentis de la pitié pour lui. Etait-ce son rêve de devenir médecin ? Je pourrais le comparer à moi… je me sentirai pareil si je perdais toute ma collection… J’aime bien sa voix !

« Depuis… j’étudie par moi même… »

« … »

Par contre, je repensais à quelque chose. La plu part des personnes que je croisais m’ignoraient, mais cette personne restais avec moi, me parlais. Elle me voyait ?

« Tu... peux me voir ? »

L’homme avait l’air surprit, je le comprends, mais pourtant, je me sentis bizarre. J’étais rassuré qu’il me voie, moi qui ai toujours été ignoré par les domestiques… Je me rappelle alors ce que mon père lui avait dit cet après midi… Et à voir son regard qui passait de la surprise à un regard normal et heureux, je compris que j’étais une personne normale à ses yeux… moi même ne sachant toujours pas qui j’étais… Et même s’il avait comprit, il posa la question habituelle.

« Comment ? «

Je n’avais pas le temps de répondre, car je ne sais pas ce qui c’est passé. Je n’entendis que des voix.

« Hé ? Attendez ! Que vous arrive-t-il ? Vous allez bien ? »

Sa voix était douce, elle était une mélodie à mes oreilles. Mais mon dos me faisais souffrir, enfin, plutôt les chose qui y étaient. Je sentis des mains m’agripper, elles étaient douces, aux doigts longs et fins. Elles me retenaient, pour m’empêcher de tomber et de faire mal. Avant, c’était toujours père, mais aujourd’hui, ou cette nuit, c’était différent. Il me prit dans ses bras… Je me sentais bien… Mais absent, pris par la douleur. Les faibles choses que je ressentaient était un liquide chaud qui coulait dans mon dos.. elles devaient sans doute saigner encore… L’homme à du le voir… il a crié…

« QU… »

« WOLFRAM ?! OU ES-TU ?! »

Un autre crie s’y mêla… C’était père… il va me crier dessus… je suis sortit même si j’en avais pas le droit…. Ha, je me sens mieux… Mais père est toujours là…

« Mon… Monsieur !! »

Il avait peur, je le sentis trembler. Mais je le comprit, quand père était énervé, je me sentais comme lui. Il avait l’air énervé et son visage avait a nouveau les trais sévère. J’essayais de le calmer.

« Ah… Père ! »

Il ne me pris pas dans ses bras… Mais se jeta sur le jeune homme, dont le nom je ne connaissais toujours pas. Il ne s’inquiétait pas sur ma santé et je fut triste, mais il demanda si il avait vu mes cicatrices..

« Tu as vu ses blessures ? «

Père et moi ? Ne t’occupes tu pas de moi ? J’ai mal… Et moi ? Je ne vous comprends pas… mon dos me brûle…

« Tu ne me laisses pas le choix, à partir de maintenant tu serviras Wolfram. Suivez-moi tous les deux ! »

J’étais toujours dans les chauds bras de mon ‘nouveau’ domestique ou plutôt a partir de maintenant mon nouveau majordome personnel. Hum.. il sent bon… c’est de la rose ? Celui ci n’étais toujours pas revenu à la normal. Père l’avait brusqué, et je le compris, la façon dont il réagis.

« Euh ? »

Malheureusement je ne pouvais profiter de l’odeur de mon domestique, que père m’arracha violemment de ses bras. Pourquoi père Stoffel, je me sentais si bien. Sa mine était grise et je savais ce qui m’attendais… Il étais furieux, mais c’était normal, j’avais encore désobéis et père ne voulait que nom bien…

« Viens ici Wolfram. Combien de fois devrais-je te le dire pour que tu comprennes ? »

« JE SUIS DESOLE !! PARDONNEZ MOI PERE !! »

Je me crispais de douleur, car en même tant il ma tapa sur le dos, sur ses cicatrices… Je me sentis si faible et je plaignais mon majordome, lui qui devais voir ce que j’allais subir comme punition à chaque fois que je désobéissais à père…

« Ah ! »

En ce moment, je ne voulais que me retrouver dans ses bras… qui mon tenu quand j’ai faillis tomber… Ha, je ne sais toujours pas son nom… Même si père devait l’avoir prononcé… je m’en rappelle pas… Voilà que nous trois nous nous dirigeons vers le manoir de Bergen… Un des plus grand manoir que je possèdes… et oui c’est bien le mien, un cadeau offert par feu ma mère pur ma naissance… Mon père possède son manoir en Pays de Gale, tandis que moi je vis en Norvège… Ne me demandez pas le comment du pourquoi… J’ai du mal à comprendre. Nous traversons les bois, et arrivons enfin dans les halls chauds du manoir… mon manoir… et arrivons dans le bureau de père. Pourtant j’aurais préféré autre chose. Rester dans la forêt… et dans les bras du jeune homme…
Je sais ce qui m’attends et la peur me prends, mais je sais que père Stoffel est juste dans ses actes… Nous voilà dans le bureau. Père me déposa violemment sur le soleil, tout en me poussant pour que je tombe sur le meuble de bois. Il m’arracha la chemise et débuta ma punition. Devant les yeux de mon domestique, père me fouetta comme tout les soirs… Je sentis la douleur me monter à la gorge, c’est horrible, mais je le mérite et père me veux que du bien… Mon dos brûle… mais j’y survis… c’est pour mon bien… je pense…

« Vas-tu enfin comprendre ?! Tu sais que je ne fais pas ça par plaisir !! C’est pour toi, pour te permettre d’obtenir le pardon de Dieu. »

Père a toujours été accros de Dieu, je ne sais pas pourquoi, mais je le saurais. Je ressens toujours les coups de fouet, mais à la longue, les douleurs s’estompent… Ce qui ne tue pas rend plus fort… Pour quelques secondes, j’avais le droit de voir la tête de mon jeune homme, il était dégoûté… Pourquoi donc ? Les gestes de père étaient tout à fat normal… n’est ce pas ?

« Oui… père »

Le dernière coup de fouet claqua et résonna dans la pièce, que j’entendis père se reculer et laisser place au majordome. Je croyais que c’était pour me punir, mais père lui ordonna alors de prendre soin de moi.

« Très bien, tu peux l’emmener, Yuuri »

Yuuri…

« Euh… oui »

Il se précipita vers moi et m’enlaça de ses bras forts pour me porter hors du bureau, moi affaiblis qui ne pouvait marcher correctement… Mais c’était passé, enfin, j’étais sortit de se bureau. Avant qu’Yuuri me serre contre lui et ferme la prote derrière nous, j’entendis les bruits habituel de père qui se fume une pipe et les murmures de sa voix…

« Julia, ma sœur ! »

La porte se referma… Yuuri m’avais tendrement déposé sur le divan, sur le ventre et s’étais mis, avec une douceur excessive, à me soigner mes blessures. Ses mains sont si douce mais froid, ou est ce la baume qu’il me dépose sur le corps ? Je me laisse faire, apaisé par ses mains, mais honteux. Notre rencontre n’étais pas la plus belle et déjà, il apprit ce que je subis tout les soirs…

« … ! »

Yuuri me passa sur le corps et je frissonna, car c’étais la première fois que l’ont s’occupait de moi après que père m’ait puni. Du coin de l’œil je vis les trais de son visage et je compris ce qu’il pensais. Sans doute qu’après avoir vu mes cicatrices que ce n’étais pas des marques qui dataient d’aujourd’hui et que je me fais fouetter chaque soir…

« C’est… C’est ma faute… J’avais interdiction de sortir ! »

Il fut surpris et voulais sans doute me faire changer d’avis ou je ne sais pas quoi, mais je me contentais de lui répondre calmement et de lui expliquer ce qu’il s’est passé il y à sept ans… Je sais pas pourquoi… mais je lui fait confiance !

« Ne te méprends pas ! En vérité, père m’adore !! Il y a longtemps, lorsque mère s’est suicidée en buvant du poison, devenue folle, mère à essayé de me tuer… Ce jour-là, pour la première fois, père m’a pris dans ses bras. ‘Ca va aller’, ‘Oublie tout ça’ me disait-il… Il m’est interdit de sortit tant que je ne serai pas devenu un compte digne de son rang !! C’est tout !! »

Je m’emportais un peu car je savais qu’au fond de moi j’avais raison. Et j’insiste la dessus. Père ne me déteste pas !

« Euh… Aah… »

Désolé Yuuri, mais tu ne peux pas comprendre. Mais à partir de ce jour, je sais que tu vas encore en apprendre sur moi. Oui, mais façon de vivre est étrange… Ma question du « Peux-tu me voir » à pour bonne raison, que je suis ignoré par tout les mondes, mit à part père, quelques professeurs et toi…Rarement des autres personnes fréquentent la maison et me voient… Personne ne me parlait… Tous m’ignoraient comme si je n’existais pas…

~ Quelques jours plu tard ~

« J’ai renvoyé mon professeur ! »

« Encore ? »

« Il disait que c’était de la génétique… « Les probabilités sont faibles pour que des yeux conservent une couleur d’or, à moins d’un mariage consanguin » »

A ce moment, j’étais assis dans un fauteuil et je m’amusais à jongler avec des bouts de sucre, tandis que j’observais Yuuri en même temps… Ces cheveux blanc… j’ai envie d’y toucher

« J’en ai eu assez d’entendre cette vielle barbe déblatérer !! Pfff !! »

Marre du sucre et dès qu’Yuuri me servit mon thé, je rangeais mon jouet et m’assis correctement, apprêtant à boire le liquide encore très chaud. C’est à ce moment que mon majordome comprit que je n’aimais pas le sucre dans le thé…

« Oh vous ne mettez pas de sucre dans votre thé ? »

« Hmm… Non… »

« Vous êtes tout pâle, vous m’inquiétez… Vous devriez manger d’avantage ! Je ne tiens pas à vous voir vous évanouir comme l’autre jour… »

Yuuri s’inquiétait pour moi, et je le comprenais parfaitement. Je voulais aller vers lui et l’embrasser… oui l’embrasser, il était plus qu’un majordome pour moi… Mais je me dirigeait vers la cage de mon oiseau… vide à présent…

« Je vais bien maintenant !

« … Je crois ! »

« Le petit oiseau que j’enterrais… Il est mort sans que je m’en rende compte. Mais j’en ai plus besoin d’animaux de compagnie maintenant. «

Je souris, mais pas forcé. Un sourire qui venait du cœur. Je serais la cage entre mes doigts et tu fus surpris Yuuri.

« Puisque je t’ai toi ! Sois le bienvenu dans ma cage Yuuri »

« Hein ? »

Je re-accrocha la cache au mur et attrapa soigneusement Yuuri au poignet, pour le tirer au travers d’un passage secret que je venais d’ouvrir.

« Viens ! Je vais te montrer un passage secret ! »

Nous descendions ensemble les escaliers. J’aime c’est endroit et c’est mon petit secret et je crois qu’à part nous deux personne le connais !

« Il mène au sous-sol ! Ce sont mes ancêtres qui l’ont bâti… Même père ignore son existence »

Enfin, nous y sommes. C’est grand et sombre, tout les meubles sont cachés sous des draps, protégé de la poussière mais ici se trouve mon secret que je te dévoilerai, Yuuri ! Nous étions au bas des escaliers te je m’étais approché d’un grille que je poussais dans un grincement. Nous escaladons le petit rempart pour arriver dans une autre salle.

« Regarde ! »

L’étagère devant nous était déjà découverte, je venais souvent ici, car j’ai pris cet endroit très au sérieux et c’est ici que j’ai commencé ma passion, la collection des poisons.

« Mais… qu’est ce que c’est?! »

Ah oui, tu ne le sais pas toi.

« Des poisons ! »

« Comment ? »

« C’est fantastique n’est ce pas ?! Mes ancêtres ont laissé une incroyable collection… De la Digitale… De la Cantarella, De la Belladone !! Des assassins si discrets… »

Je voulu mettre un main dans ma poche, mais en faisant ce geste, je perdis malheureusement une chose précieuse. C’était une photo. Et toi tu avais reconnue la personne, n’est ce pas Yuuri ?

« Mais… C’est… Madame Julia, la sœur de votre père… n’est ce pas ? »

Tu posa une main sur cette photo que je gardais précieusement entre mes mains, sans pour autant qu’elles ne se touchent, la tienne et la mienne.

« Oui, j’ai subtilisé cette photo dans la chambre de père… Il paraît qu’elle avait de magnifiques cheveux noirs… »

Je sentis un picotement dans ma main, ton toujours.. mais aussi un picotement dans le cœur dû à un souvenir de vous, tante Julia. Je savais qu’elle question tu allais me poser et j’étais prêt à te répondre, car je pouvais te faire confiance, n’est ce pas Yuuri ?

« « Avait » ? Euh, elle est décédée ? »

« Non non… Mais je ne l’ai rencontré qu’une fois, il y a très longtemps… Ses jolis cheveux noirs étaient devenus blancs… »

-Flash-

Wolfram avait pas plus de quatre ans, c’était un après midi et son père, Lord Stoffel avait décidé d’aller rendre visite à sa sœur bien aimée. Madame Julia était assise sur une chaise, un livre en main. Elle était ravissante, ses beaux cheveux blancs ondulés, son teint pâle maladif ses yeux magnifiques et ses lèvres rouges vifs. On aurait cru un ange descendu directement du ciel. Ses mains parfumées étaient aussi blanche comme la neige…

« Wolfram… Voici ta tante Julia »

« Mon garçon... Comme je suis contente de te voir…Gentil Garçon… »

Elle prit le jeune homme dans ses bras et le serra tendrement contre elle. Quelque seconde pas plus, mais Wolfram sentit que quelque chose avait changé en lui. Julia s’écarta et prit son visage entre ses mains, toujours un doux sourire elles ajouta.

« Ou sont tes cornes, mon garçon ?! Et tes ailes noires ? »

« Hein ? »

Wolfram ne comprit pas ce dont sa tante parlait. Il était humaine, pourquoi faire référence à des cornes et des ailes ? Le petit garçon prit peur et voulait s’écarter de sa tante, mais celle ci la tenait avec ardeur…

-Fin-

Je me rappelle de ce qu’il y avait après. Yuuri m’avait dans ses bras, car je lui avais dix pourquoi je tenais tant à cette femme… Je sentais en elle comme un sentiment, je la pris pour ma mère… A ce moment, père était alors entré et nous avait crié dessus, et s’apprêtait de punir mon Yuuri, mais je me mis entre…

[…]

J’arrête le journal a cet endroit… ce qu’il c’est passé par la suite est trop dur… j’ai toujours du mal à y croire, mais Yuuri est toujours à mes côtés. Peut être qu’avec le temps, je serait capable de reprendre la plume et d’écrire mes douleurs... mais pas pour le moment… Je suis invité chez le comte Aodhan, mais ne t’inquiète pas mon journal… Je te tiens au courant…

Le jeune homme referma son petit journal couleur vermeil et laissa son regard divaguer dans la nuit, tandis que la calèche, après avoir passé l’eau, l’apporta à destination…

fiche validée aussi My Darling :content:

ôôô fan de Comte Cain :extase:

j'ai le regret de vous annoncer que Wolfy quitte le forum :pleure: